Dans ce cas, la sortie relais fonctionnera avec une logique inverse, c'est-à-dire que le relais sera activé lors d'une opération normale et sera
désactivée lors de l'occurrence d'une alarme. Cela est nécessaire pour que, dans le cas d'une panne d'alimentation, par exemple, le relais reste
inactif et soit reconnu comme une défaillance par le système.
Les actions disponibles sont :
Déclenchement des relais (il faut les configurer pour le déclenchement « par alarme » dans le logiciel de configuration).
•
Déclenchement des sorties numériques (il faut les configurer pour le déclenchement « par alarme » dans le logiciel de configuration).
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Démarrage des enregistrements : lorsque la condition d'alarme est atteinte, les enregistrements sont démarrés s'ils ne le sont pas déjà.
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Arrêt des enregistrements : lorsque la condition d'alarme est atteinte, les enregistrements sont arrêtés s'ils ne le sont pas déjà.
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Démarrage et arrêt des enregistrements : l'enregistrement se produit pendant que la condition d'alarme est satisfaite.
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Envoi d'e-mails : permet d'envoyer un e-mail rapportant la condition d'alarme à 10 destinataires au maximum (déjà inclus sur la liste de
•
destinataires).
Envoi de traps SNMP : permet d'envoyer une trap au serveur configuré avec un numéro référant l'indice de l'alarme active.
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Forçage de valeurs dans le comptage d'un ou plusieurs canaux numériques.
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Forçage de valeurs dans l'accumulation d'un ou tous les canaux accumulateurs.
•
L'envoi d'e-mails dépend de la disponibilité des connexions TCP, de même que celui des traps dépend de la disponibilité des connexions UDP, à la
fois par le FieldLogger.
Si on configure le démarrage et l'arrêt des enregistrements par alarmes, l'option « mémoire circulaire » ne sera pas disponible. Ainsi, les
enregistrements seront finis lorsque la mémoire est pleine.
La condition d'alarme doit rester pendant au moins 250 ms pour garantir sa détection. Le même doit être considéré pour la sortie de la condition
d'alarme. En outre, il convient de rappeler que les canaux analogiques peuvent avoir un délai dans la mesure de la valeur d'entrée vraie, en fonction
du type de capteur, de l'intervalle entre les lectures, du filtre configuré, etc. Les canaux déportés, à leur tour, dépendent directement de l'intervalle
de balayage configuré. Ainsi, ces types de canaux peuvent fournir une latence supplémentaire lors de la détection de la condition d'alarme.
Lors de la mise sous tension de l'appareil, il n'y a pas d'informations fiables sur les canaux. Dans le cas des canaux analogiques et des canaux
déportés, il faut attendre à ce que le premier balayage soit finalisé afin que les valeurs des canaux soient disponibles. De cette manière, les alarmes
utilisant ces types de canaux peuvent prendre un certain temps avant de pouvoir être comparées à la consigne configurée. Dans le des canaux
déportés, en fonction de la configuration utilisée, une analyse complète de tous les canaux peut prendre plusieurs secondes.
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