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Les clauses de l'exemple représentent des calculs numériques simples,
mais vous pouvez inclure des séquences quelconques d'objets et de
commandes. Une clause est en effet une sorte de sous-programme. Si
vous écrivez un programme séparé contenant la clause et si vous
stockez ce programme dans une variable, vous pouvez utiliser le nom
de la variable comme clause. Dans un tel cas, un structure simple
comme la suivante
IF A THEN 8 EL SE C END
peut représenter un processus de décision complexe avec deux
résultats complexes possibles, selon les contenus de A, B et C.
IF ... THEN ... ELSE ... END
Conformément à la terminologie préalablement définie, l'évaluation
de cette structure conditionnelle peut être décrite comme suit : la
clause IF est évaluée et donne un indicateur. Si l'indicateur est vrai, la
clause THEN est évaluée, sinon la clause ELSE est évaluée.
Cette structure est illustrée dans la section
«
FIB2 (Suite de Fibonacci,
boucle)
»
en page 248.
IFTE (fonction If-Then-Else-End)
Le premier exemple de ce chapitre peut être écrit en syntaxe
algébrique en utilisant la fonction IFTE :
'IFTE(X~0,SIN(X)/X,1)'
Cette forme est très pratique pour les calculs symboliques. Si vous
exécutez la version de structure de programme lorsque X est indéfini,
cette expression algébrique constitue le résultat. Les arguments de
IFTE doivent être représentables en syntaxe algébrique. Si vous
voulez utilisez des commandes RPN dans l'expression conditionnelle,
vous devez utiliser la structure de programme.
La fonction IFTE est utilisée dans la section
«
FIBI (Suite de
Fibonnaci, version récursive)
»
en page 247.
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26 : Structures de programmes
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