Table des Matières
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v Code correcteur d'erreurs de mémoire et test de parité
v Diminution de la taille de la mémoire (mémoire non mise en miroir). Après un
redémarrage de serveur après que le contrôleur de mémoire ait détecté une
erreur non corrigible non mise en miroir et l'impossibilité pour le contrôleur de
mémoire de procéder à la restauration de manière opérationnelle? le IMM2.1
consigne l'erreur non corrigible et informe le POST. Celui-ci parcourt la mémoire
avec l'erreur non corrigible, puis le serveur redémarre avec la mémoire installée
restante.
v Programmes de configuration système et RAID (Redundant Array of
Independent Disks) pilotés par menus
v Autotest intégré du microprocesseur (BIST), surveillance de signal d'erreur
interne, surveillance de signal de sécurité thermique interne, contrôle de
configuration, et identification de problème de module de régulation de tension
et du microprocesseur via LightPath diagnostics
v Bouton d'interruption non masquable (NMI)
v Contrôle de parité sur les bus PCIe
v Gestion de l'alimentation et compatibilité ACPI (Advanced Configuration and
Power Interface)
v Autotest à la mise sous tension (POST)
v Alertes d'anticipation des pannes disque (PFA) pour la mémoire, les unités de
disque dur SAS/SATA ou les unités SSD
v Fonctions Ethernet de secours avec support de reprise en ligne
v Blocs d'alimentation redondants remplaçables à chaud et ventilateurs redondants
remplaçables à chaud
v Prise en charge d'un carte d'interface réseau redondante
v Identification des incidents système à distance
v Diagnostic basé sur la ROM
v vérification par total de contrôle de la mémoire morte
v SPD (Serial Presence Detection) sur mémoire, données techniques essentielles sur
la carte mère, alimentation électrique et fonds de panier de l'unité de disque dur
ou de l'unité SSD, microprocesseur et bac d'extension mémoire ainsi que les
adaptateurs Ethernet
v Isolement de barrette DIMM unique pour les erreurs corrigibles en excès ou les
erreurs multibits de l'UEFI
v Unités SSD
v Tension de secours pour la surveillance et les fonctions de gestion de système
v Démarrage (amorçage) à partir du réseau local via RIPL (Remote Initial Program
Load) ou DHCP/BOOTP (Dynamic Host Configuration Protocol/Boot Protocol)
v Configuration automatique du système depuis le menu de configuration
v Journalisation d'erreur système (POST et IMM2.1)
v Surveillance de la gestion de système à l'aide du bus I2C (Inter-Integrated
Circuit)
v Détection d'erreur non corrigible (UE)
v POST pouvant être mis à niveau, Unified Extensible Firmware Interface (UEFI),
diagnostics, microprogramme IMM2.1, et code résident de mémoire morte
(ROM) en local ou sur le LAN
v Données techniques essentielles sur les microprocesseurs, la carte mère, les blocs
d'alimentation et le fond de panier SAS/SATA (unité SSD ou unité de disque
dur remplaçable à chaud)
v Fonction Wake on LAN
Chapitre 1. Serveur Lenovo System x3500 M5 type 5464
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