Tests Audiométriques Traditionnels - Welch Allyn AudioScope 3 Guide D'utilisation

Audiomètre portatif de dépistage
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Tests audiométriques traditionnels
Les diapasons ont été l'une des premières méthodes utilisées pour
déterminer le type de perte auditive. Ils sont toujours employés par
certains praticiens pour différencier les pertes de conduction des
pertes auditives neurosensorielles. Ils ont toutefois été remplacés
en grande partie par les audiomètres.
Les audiomètres traditionnels produisent des tonalités pures à
fréquence et à intensité variables. La fréquence, mesurée en Hertz
(Hz), ou cycles par seconde, est perçue comme le ton. La plage
perçue par l'oreille humaine s'échelonne d'environ 20 à 20 000 Hz.
L'intensité, mesurée en décibels (dB), est perçue comme le niveau
sonore.
Dans la plupart des cas, l'ouïe est mesurée par des spécialistes
d'après le seuil auditif, c'est-à-dire le son le plus faible qu'une
personne peut percevoir dans le calme. Les seuils sont mesurés
à diverses fréquences, habituellement dans le registre de la parole
(500 Hz à 4 000 Hz) et juste au-delà (125 Hz à 8 000 Hz).
Le degré de perte auditive est enregistré sur un graphique appelé
audiogramme, illustré au tableau 1 (page 6).
Les mesures sont effectuées par conduction aérotympanique, qui
consiste à transmettre un son dans l'oreille au moyen d'un casque
d'écoute. Elles peuvent également être effectuées par conduction
osseuse, qui consiste à transmettre un son par un vibrateur placé
sur la mastoïde, derrière l'oreille. Le type de perte (perte de con-
duction, perte neurosensorielle ou les deux) est déterminé par
comparaison de ces deux mesures.
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