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Explications Sur La Fréquence De Trame Et Le Pulldown; Balayage Entrelacé Et Progressif; Fréquence De Trame Des Sources D'image - Digital Projection E-Vision 6900 Serie Guide D'installation Et De Démarrage Rapide

Vidéoprojecteur numérique à luminosité élevée

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Digital Projection Série E-Vision 6900
Explications sur la fréquence de trame et le pulldown
Balayage entrelacé et progressif
Un balayage progressif permet d'actualiser l'image en traçant séquentiellement toutes les lignes de chaque trame. Par opposition, la
vidéo entrelacée balaye alternativement les lignes impaires et les lignes paires. Dans les anciennes TV analogiques, l'entrelacement était
couramment utilisé pour doubler le taux de rafraîchissement sans consommer de largeur de bande supplémentaire.
Les artéfacts suivants sont courants avec les vidéos entrelacées :
edge tear (effet de peigne)
L'image repose entre deux champs et elle est floue. Ce phénomène est couramment observé lorsque l'on regarde un mouvement latéral
rapide.
aliasing (effet d'escalier)
La texture de l'image se remplit de motifs irréalistes. L'aliasing découle des différences entre la fréquence de la trame d'origine et le
format de destination.
scintillement
L'image scintille, par exemple, lors du défilement du générique. Ce phénomène se produit quand l'image contient de fines lignes
horizontales qui n'apparaissent que dans un champ.
Fréquence de trame des sources d'image
Les films analogiques originaux sont produits en 24 fps et la trame entière est projetée en une seule fois. Pour éliminer les scintillements et
donner une impression de mouvement continu, les pales du projecteur divisent les images afin que le spectateur voit 48 images par seconde.
La vidéo entrelacée balaye les lignes impaires, puis les lignes paires. Deux champs sont fusionnés dans une image. La vidéo NTSC (60i)
affiche 29,97 fps, soit 59,94 champs par seconde.
La vidéo 24p est progressive mais sans l'avantage de la division des images par les pales du projecteur. Elle semble donc plus saccadée
qu'un enregistrement sur pellicule. Le format 24p est le format optimal pour les projets qui finissent sur pellicule.
Le format 30p est optimal pour les projets qui finissent sur vidéo. Il présente moins de problèmes stroboscopiques que le format 24p en
playback vidéo.
Guide de références
EXPLICATIONS SUR LA FRÉQUENCE DE TRAME ET LE PULLDOWN
Remarques
Rév. A mars 2017
page67

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