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Exemple : Décalage + mauvais contact
Exemple : Bridge tap
ARGUS 155
6 Utilisation sur accès ADSL
Dans le cas d'une ligne parfaite, les
valeurs baissent quand la fréquence
augmente ; pour une ligne très courte, la
courbe est quasi horizontale. L'exemple
représente une ligne courte. Dans le
graphe HLOG, le calcul des valeurs des
flux montant (« upstream ») et descendant
(« downstream ») du DSLAM peut aboutir
à un décalage pa rapport aux valeurs de
flux descendant de l'ARGUS. Il arrive
aussi que des DSLAM n'envoient pas ou
mal les valeurs « upstream » du HLOG.
Souvent, des communications DSL sont
possibles bien que l'une des deux paires
soit à haute impédance ou même coupée
(couplage alors uniquement capacitif).
Dans ce cas, il se produit des décrohages
ou des pertes de données. Les raisons de
ces problèmes peuvent être les
suivantes : oxydation des lignes
raccordées, mauvais contacts dans les
prises téléphoniques, bornes dévissées
ou isolation défectueuse des lignes. Dans
le cas d'une telle liaison, l'atténuation aux
basses fréquences est supérieure à celle
mesurée aux hautes fréquences. Ceci se
reconnaît à un rapport atypique entre
atténuation sur flux montant et sur flux
descendant ou encore à l'allure du HLOG.
En cas de problème sur l'une des paires,
les valeurs aux basses fréquences sont
souvent plus faibles que celles mesurées
aux hautes fréquences.
Ouvre les fonctions graphiques
<Menu>
(voir page 36).
L'ARGUS repasse au graphe
<Continuer>
bits/tonalité.
L'exemple ci-contre montre une
« cuvette ». Elle peut être l'indice d'une
dérivation (bridge tap).
La formule empirique :
L[m] = 50 / f [MHz], permet, quand on
connaît la fréquence en MHz (0,535 MHz
dans l'exemple), d'estimer la longueur
approximative d'une dérivation:
L [m] = 50 / 0,535 MHz = 93 m
On a affaire à une dérivation d'environ
93 m de long.
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