Table des Matières
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3 – Faire la mise au point, composer l'image et prendre la photo.
4 – Tourner et enfoncer le bouton de débrayage de la manière habituelle ; maintenant, le film
ne bouge pas lorsqu'on arme l'appareil.
5 – Armer doucement l'appareil à l'aide de son levier d'armement. Dès lors il est prêt pour la
vue suivante.
On peut exposer une même portion de film autant de fois que l'on veut, simplement en
répétant les opérations 4 et 5 ci-dessus. Cependant, chaque fois que l'on agit sur le levier
d'armement, le compteur avance d'un cran.
Il existe une possibilité que le film bouge très légèrement si on fait un très grand nombre
d'expositions sur une même portion de film.
Si on enfonce le bouton de débrayage en vue de faire une surimpression et que on désire
revenir à une exposition normale, appuyer sur le bouton de contrôle de la pile avant d'arme à
nouveau.
A noter qu'il est déconseillé de faire des surimpressions sur la première et les quelques
dernières images du film.
L'exposition en surimpression
Généralement, la première vue d'une surimpression sera celle d'un sujet relativement sombre
sur lequel la seconde vue se détachera clairement.
Lors des surimpressions, les expositions successives faites sur une même portion de film
s'additionnent et, par conséquent, il est indispensable de sous-exposer légèrement chaque
prise de vue. Cela peut se faire de diverses manières. L'une consiste à modifier le réglage de
sensibilité de l'appareil en le plaçant à une valeur plus élevée que la normale. Dans cette
méthode, il est nécessaire de préalablement décider du nombre d'expositions qui seront faites
sur al même portion de film. En règle générale, on doublera la sensibilité ISO pour une
surimpression normale, on la triplera pour trois expositions successives sur une même portion
de film, etc.
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